identito-vigilance: protocole par le biais des SNP
Il s'agit d'une piste de réflexion sur ce que j'ai entendu cette semaine au labo.
Dnas le cadre des manips de séquençage de l'équipe de Rennes en oncologie ou somatique, ils passent des échantillons pour voir des SNP.
L'association de quelques SNP permet de discriminer des patients et par exemple de savoir le sexe, et aussi un code de quelques lettres qui pourra devenir unique. Ces SNP sont répartits sur de nombreux gènes qui sont justement ceux qu'ils observent. Ils n'en ont que quelques un de dispo pour cette raison (8 ou 9). Ça ne fait pas forcement un très grande combinatoire, mais ils l'utilisent à l'échelle d'un run uniquement.
Vu le type de données que l'on a, ce n'est pas envisageable (mutation, recombo, locus différents suivant les samples,...). Mais c'est à garder dans un coin de notre esprit.
PS; ça fait prendre conscience qu'il en faut peu pour identifier quelque un.